Les témoignages d’architectes sur leurs pratiques, sur le déroulement personnel et humain de leurs projets sont une chose rare. Etonnamment, un site internet regroupe quelques un de ces récits d’architectes sous une forme littéraire convenue. Aymeric Zublena raconte ainsi « Le jour où j’ai assisté à la finale de la coupe du monde dans le stade que j’ai construit », tandis que Paul Andreu nous narre « Le jour où j'ai dîné sous la Manche» ou que Michel Laclotte témoigne du « jour où nous avons inauguré la pyramide du Louvre ». Quelques années après, l’émotion éprouvée sur l’instant par les concepteurs et maitres d’ouvrage nous est rendue accessible.
Or la semaine dernière, à eu lieu l’inauguration du premier segment de la promenade haute projetée à New York : The Highline. Dessinée par l’agence de paysage de James Corner et par les architectes Diller et Scofidio, ce projet de réutilisation d’une voie ferrée aérienne peut rappeler par son programme la promenade Dausmenil conçue au début des années 1990 par Philippe Mathieux et Jacques Vergely. Mais, si le parcours linéaire parisien avait fait l’objet d’une profonde analyse de Sébastien Marot dans Le Visiteur n°2, le biais des nouvelles technologies, sites institutionnels, blogs et groupes de partage de photographies permettent une appréhension instantanée, à la fois superficielle et démultipliée de la nouvelle traversée de Manhattan. Dès lors, on peut presque s’écrier à distance : j’y étais !
A voir :
http://www.civismemoria.fr/contribution/?module=contrib&page=theme&theme=106&paging=1
http://www.thehighline.org/
http://www.flickr.com/groups/friendsofthehighline/
http://www.fieldoperations.net/
http://www.dillerscofidio.com/
Or la semaine dernière, à eu lieu l’inauguration du premier segment de la promenade haute projetée à New York : The Highline. Dessinée par l’agence de paysage de James Corner et par les architectes Diller et Scofidio, ce projet de réutilisation d’une voie ferrée aérienne peut rappeler par son programme la promenade Dausmenil conçue au début des années 1990 par Philippe Mathieux et Jacques Vergely. Mais, si le parcours linéaire parisien avait fait l’objet d’une profonde analyse de Sébastien Marot dans Le Visiteur n°2, le biais des nouvelles technologies, sites institutionnels, blogs et groupes de partage de photographies permettent une appréhension instantanée, à la fois superficielle et démultipliée de la nouvelle traversée de Manhattan. Dès lors, on peut presque s’écrier à distance : j’y étais !
A voir :
http://www.civismemoria.fr/contribution/?module=contrib&page=theme&theme=106&paging=1
http://www.thehighline.org/
http://www.flickr.com/groups/friendsofthehighline/
http://www.fieldoperations.net/
http://www.dillerscofidio.com/
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