Vous avez surement entendu parler de WikiLeaks, cette organisation suédoise pilotée par Julian Assange qui a mis à disposition des journalistes et du grand public plus de 400 000 documents militaires concernant la guerre en Irak : les War Logs.
Ironie de l’histoire, ces documents confidentiels arrachés aux services militaires et à la classification secret-défense sont à nouveau conservés dans un bunker. En effet, les serveurs de l’hébergeur indépendant Bahnhof, dirigé par Jon Karlung, qui contiennent les War Logs occupent un ancien un centre de commandement souterrain désaffecté au sud de Stockholm.
La réhabilitation de ce bunker est due à un jeune architecte franco-suédois : Albert France-Lanord qui s’est manifestement inspiré des architectures maléfiques du Docteur No et d’autres ennemis jurés de James Bond…
Au delà de cette intervention spectaculaire, un détail nous interpelle... Le bunker est nommé Pionen et comme d’autres installations militaires, cet ancien nom de code correspond à un élément végétal ou animal. Après consultation d’un dictionnaire suédois, il s’avère que le petit nom du bunker est en fait Pivoine. Mais diable, pourquoi donc ?
Se pourrait-il que le nom et le plan de la construction réponde malicieusement à l’ambition de WikiLeaks : (« We are fearless in our efforts to get the unvarnished truth out to the public ») ? Que l’architecture du data center, livré en 2008, trouve ici une relecture imprévue et détonante :
Flower Power !!! ?
Voir :
http://www.fotograf.nu/360/bahnhof
http://sv.wikipedia.org/wiki/Pionen
http://www.bahnhof.se
http://www.af-la.com
Ironie de l’histoire, ces documents confidentiels arrachés aux services militaires et à la classification secret-défense sont à nouveau conservés dans un bunker. En effet, les serveurs de l’hébergeur indépendant Bahnhof, dirigé par Jon Karlung, qui contiennent les War Logs occupent un ancien un centre de commandement souterrain désaffecté au sud de Stockholm.
La réhabilitation de ce bunker est due à un jeune architecte franco-suédois : Albert France-Lanord qui s’est manifestement inspiré des architectures maléfiques du Docteur No et d’autres ennemis jurés de James Bond…
Au delà de cette intervention spectaculaire, un détail nous interpelle... Le bunker est nommé Pionen et comme d’autres installations militaires, cet ancien nom de code correspond à un élément végétal ou animal. Après consultation d’un dictionnaire suédois, il s’avère que le petit nom du bunker est en fait Pivoine. Mais diable, pourquoi donc ?
Se pourrait-il que le nom et le plan de la construction réponde malicieusement à l’ambition de WikiLeaks : (« We are fearless in our efforts to get the unvarnished truth out to the public ») ? Que l’architecture du data center, livré en 2008, trouve ici une relecture imprévue et détonante :
Flower Power !!! ?
Voir :
http://www.fotograf.nu/360/bahnhof
http://sv.wikipedia.org/wiki/Pionen
http://www.bahnhof.se
http://www.af-la.com
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