La réouverture du Forum des images à Paris, réaménagé par l’agence X-TU (Anouk Legendre & Nicolas Desmazières), a donné lieu à de nombreuses représentations de l’espace principal du projet : le hall d’accueil. On a ainsi pu voir la vue du concours réalisée par l’agence représentant le projet.
Mais aussi, la campagne d’affichage signée par l’agence Bronx modifiant la configuration de l’image.
Ou encore les prises de vues réelles, notamment partagées sur Flick R.
Enfin, la photographie patentée de la réalisation, à destination des revues d’architecture.
Sans faire l’exégèse complète de ces quatre images, dont les vues du projet sont au demeurant proches de la réalisation finale, il est frappant de remarquer qu’autant les photomontages d’architecture et les photographies ordinaires privilégient l’affluence du public, autant la photographie officielle de la réalisation l’exclut. Alors que les vues virtuelles du projet sont humanisées par des personnages en situation, la photographie d’architecture soustrait tout corps de l’espace et représente littéralement une absence. De ce paradoxe de l’abstraction du réel nait une certaine étrangeté ; une architecture de composition dont l'expérience, les usages et pratiques de l’espace sont le sujet absent.
Sources :
http://www.forumdesimages.net
http://www.x-tu.com
http://www.bronx.fr
Mais aussi, la campagne d’affichage signée par l’agence Bronx modifiant la configuration de l’image.
Ou encore les prises de vues réelles, notamment partagées sur Flick R.
Enfin, la photographie patentée de la réalisation, à destination des revues d’architecture.
Sans faire l’exégèse complète de ces quatre images, dont les vues du projet sont au demeurant proches de la réalisation finale, il est frappant de remarquer qu’autant les photomontages d’architecture et les photographies ordinaires privilégient l’affluence du public, autant la photographie officielle de la réalisation l’exclut. Alors que les vues virtuelles du projet sont humanisées par des personnages en situation, la photographie d’architecture soustrait tout corps de l’espace et représente littéralement une absence. De ce paradoxe de l’abstraction du réel nait une certaine étrangeté ; une architecture de composition dont l'expérience, les usages et pratiques de l’espace sont le sujet absent.
Sources :
http://www.forumdesimages.net
http://www.x-tu.com
http://www.bronx.fr
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